NOYAUX ATOMIQUES DE RÉFÉRENCE

Aujourd'hui, les NOYAUX présents sur terre se répartissent en (92) éléments chimiques, chacun enveloppé d'une membrane faite d'un nombre (z de 1 à 92) d'unités (q+) d'électricité. Deux radioactifs ont disparu : le Technétium (z = 43), le Prométhium (z = 61) ; tous les autres au-dessus de (z = 83) sont radioactifs et ont quasiment disparu, sauf le Thorium (z = 90) et l'Uranium (z = 92), qui ont des périodes de plusieurs millions d'années.

Les (z) unités (q+) d'électricité qui définissent chaque élément chimique enveloppent la surface du volume (Va) des noyaux atomiques. Elles se juxtaposent sans se chevaucher. et forment une sorte de couverture en patchwork qui enveloppe le noyau

La flexibilité de cette enveloppe électrique exerce une pression sur le gaz Feynman gravitationnel qui la porte et joue donc un rôle important quant à la stabilité des noyaux :

z < 83 ; les volumes nucléaires sont quasiment sphériques, ce qui signifie que les (z) unités (q+) se répartissent sans contrainte.

z ≥ 83 ; les volumes nucléaires prennent une forme ovoïde.

z > 92 ; les volumes nucléaires n'existent pas à l'état naturel.

Les éléments chimiques sont répertoriés d'après leur numéro atomique (z) qui est le nombre d'unités (q+) d'électricité contenue sur leur enveloppe nucléaire. Celle-ci peut enfermer diverses quantités de gaz Feynman gravitationnel correspondant à des états stables, classés en deux catégories : l'une est dit de référence ; les autres sont ses isotopes. Avant d'être stables les noyaux, lors de leur formation, sont généralement passés par des états instables

LES NOYAUX DE REFERENCE :

On les appelle ainsi parce qu'ils sont les plus nombreux parmi les ISOTOPES STABLES d'un même élément chimique défini par le nombre (z) d'unités (q+) d'électricité qui enveloppent leur NOYAU.

Un noyau de référence est constitué d'un volume (Va) contenant une quantité de gaz Feynman gravitationnel dont l'image gravitationnelle est égale (ma) en Kg.

F = G. ma

Les physiciens se référent à l'unité de masse atomique (mu = 1,66.10-27 Kg) pour écrire :

Ma / mu = A + da ou (A) est le nombre nucléaire et (da) ses décimales. Ce qui permet de représenter un noyau par (AZX) ou (z) est le numéro atomique.

Si le noyau est stable son cumul gravitationnel est ordonné, pour cela il doit posséder une capacité énergétique (Ea=ma.c2) liée à un mode de résonance (Ra) accordé sur la fréquence (fo ) du fluide du vide.

Caractéristiques communes à tous les NOYAUX de référence :

Un NOYAU stable est un volume (Va) entouré de (z) unités (q+) d'électricité.

Ce volume (Va) contient une quantité de gaz Feynman qui génère un cumul gravitationnel dont la capacité énergétique est liée à une mode de résonance (Ra)

Par ailleurs ce cumul gravitationnel génère à l'extérieur du NOYAU un champ gravitationnelle égal à (Fa = G. ma). Cette masse est généralement exprimée en fonction de l'unité (mu = 1,66 10-27 kg) selon la formule [ma / mu = (A + da)]

Nous sommes en présence de deux phénomènes liés mais différents :

1 - Vu de l'extérieur (Fa = G. ma) définit l'image gravitationnelle (ma) d'un NOYAU.

2 - Vu de l'intérieur (Ea = ma c2) est la capacité énergétique qui définit le mode vibratoire (Ra) du cumul gravitationnel d'un NOYAU

Si dans un NEUTRON le mode de résonance était défini par la relation (Ro = Eo / h = fo), dans un NOYAU atomique les choses sont différentes. En effet, d'une part les grains Feynman sont compressés par les (z) unités (q+) de leur surface, d'autre part, ils subissent la force d'expansion de leurs énergies cinétiques dont le cumul est proportionnel à la masse nucléaire [ma = mu (A + da)] Ces forces antagonistes s'équilibrent lorsque [ka = z / (A+da)]

Rappel des formules d un noyau (AZX)

ma / mu = A + da

Fa = G. ma = G Ea / c2

Ra = Ea . ka / h = fz = z . fo

ka = z / (A + da)

mu = unité de masse : 1,66 10-27 kg

Ea = capacité énergétique

fo = 2,269.1023 Hz, fréquence du NEUTRON ;

 

Exemples :

A - Les atomes de titane de référence (48Ti) appartiennent à l'élément chimique de numéro atomique (z = 22).

- Selon les listes officielles (ma = 7,95.10-27) soit :une capacité énergétique :

ma.c2 = Ea = 7,1462.10-9 Joules = 44.662,60 MeV

- soit (Ea / Eu = 47,90), ce qui implique (A = 48 et da = -0,10).
- k a = z / (A + da) = 0,46).

Ce qui donne R a = k a . E a / h = 4,9965.1024 = 22 . fo ou fo = 2,22692.1023

Le noyau de l'atome de titane de référence vibre sur l'harmonique (22) de la fréquence (fo) de l'énergie du vide

B Les atomes de plomb de référence (207Pb) appartiennent à l'élément chimique de numéro atomique z = 82.

Selon la liste officielle (m a= 3,439.10-25),

- soit une capacité énergétique : ma. c2 = Ea = 192.794,12 MeV
- Le rapport Ea / Eu = 206,97, ce qui implique A = 207 et da = 0,024.
- Ka = z / (A + da) = 0,396

Ce qui donne R a = k a . E a / h = 1,862.1025 = 82 fo

Le noyau de l'atome de plomb de référence vibre sur l'harmonique (82) de l'énergie du vide

REMARQUES :

Du fait que le mode de résonance d'un noyau de référence soit accordé sur l'harmonique (z) de la fréquence (fo) de l'énergie du vide, l'intensité de l'onde induite dans ledit noyau se réduite au fur et à mesure que (z) augmente.

Compte tenu de ce qui précède, les noyaux stables de référence perdent leur stabilité à mesure que (z) croît pour devenir radioactif à partir de (z = 84). Mais radioactif ne veut pas dire qu'ils n'ont aucune stabilité ; ils en conservent suffisamment pour vivre un certain temps : il est très court pour le polonium, mais de plusieurs milliards d'années pour le thorium 232 et les uranium 238...

La période d'un radioélément, c'est le temps au terme duquel la moitié d'une quantité contenue dans un échantillon se désintègre. Si l'on trouve, sur terre, de l'uranium 238, c'est qu'au bout de 4,5 milliards d'années, il reste encore la moitié du nombre qui était présent à son origine et que la moitié de cette moitié mettra 4,5 milliards d'années à disparaître.

Il ne faut donc pas confondre un noyau réellement instable parce que son mode de résonance n'est pas accordé sur une harmonique de (fo)., avec un noyau radioactif qui possède une structure d'une stabilité plus ou moins précaire.

Lorsque la structure d'un noyau est précaire, il suffit d'un choc pour que les alvéoles tissées par les ondes stationnaires dans son cumul gravitationnel se déchirent et libèrent le gaz Feynman Ceux-ci retrouvant leur agitation se regroupent en divers amas, parfois en un NEUTRON qui ne tarde pas à se désintégrer sous l'une ou l'autre forme (β+) ou (β-) voir la rubrique correspondante.

NOYAU radioactif avec fission spontanée

Un NEUTRON thermique, en se liant à un NOYAU d'URANIUM radioactif (235), le fait exploser en deux NOYAUX et deux NEUTRONS animés globalement d'une énergie cinétique d'environ (90 MeV).

0N + 235U → 91Kr + 143Ba + 2 . 0N + 90 MeV

On constate un rapport de réciprocité [R = z / (A - z)] relativement égal pour les deux noyaux fils.

R = z / (A - z) = 0,654 pour le KRYPTON (91) ISOTOPE radioactif lourd
= 0,644 pour le BARIUM (143) ISOTOPE radioactif lourd

Il faut remarquer que, dans ce cas, l'accord du mode de résonance des deux NOYAUX n'intervient pas et que la séparation se fait par rapport à un phénomène de réciprocité qui crée des ISOTOPES instables, lesquels ne retrouveront leur équilibre que lors de restructurations successives ultérieures, par radioactivité β-.

91Kr → 91Rb → 91Sr → 91Y → 91Zr (stable)

143Ba → 143La → 143Ce →143Pr → 143Nd (stable)

On retrouve les circonstances déjà décrites : Dans l'ambiance de l'énergie du vide omniprésente, lorsqu'un choc excite un NOYAU réputé instable, le mode de résonance de celui-ci se trouve momentanément désaccordé et les ondes stationnaires qui s'étaient formées dans son volume d'énergie se brisent en libérant des fragments d'énergie qui se regroupent en grumeaux dont certains acquièrent l'énergie (Eo) d'un NEUTRON.