ÉLECTRONS :

L'ÉLCTRONS n'a pas d'autre origine que la désintégration d'un NEUTRON (consulter la rubrique Emergence de le matière),

CARACTÉRISTIQUE D'UN ÉLECTRON

C’est la troisième particule qui par son originalité fut indispensable à l’édification de l’univers. En effet sans sa zone d’impénétrabilité les atomes n’auraient jamais pu se structurer.

Zone d'impénétrabilité des ELECRONS

Dans UNIVERSALIS à la rubrique liaisons chimiques et au paragraphe Force de Van der Waals : André Julg, Professeur à l'Université d'Aix précise :

La limite extérieure de l'atome est celle que trace la zone d'impénétrabilité de l'ELECTRON dans sa circonvolution autour du noyau. Cette zone a un rayon (Rv) de (1,2 Å) pour l'Hydrogène, de (1,5 Å) pour l'Azote, de (2 Å) pour le Brome, etc.

Un ELECTRON est un volume (Ve) qui contient une quantité de grainsFeynman dont le cumul gravitationnel :

D’autre part, le volume d’un ELECTRON est habillé d’une unité de charge électrique négative.

Le volume d'un ÉLECTRON est rempli de grains Feynman enveloppés d’une unité (q-) d’électricité négative et il est entouré d’une zone d’impénétrabilité dont on ne connait pas la constitution.

2 COMPORTEMENT des ELECTRONS :

a) Sans être gêné par sa zone d'impénétrabilité, un ÉLECTRON, en heurtant un obstacle, perd de l'énergie sous les formes cinétique et électrostatique, celles-ci se retrouvent sous la forme d'un PHOTON fait d'énergie ΔE et entouré d'un champ électromagnétique.

b) Ci-dessus, sans être gênés par leur zone d'impénétrabilité un ÉLECTRON et un POSITON, s'attirent. Sachant que, l'un comme l'autre, ne peut acquérir une énergie cinétique (Ecm) supérieure à sa propre énergie interne (E = me.c2 = Ecm) on constate qu'au moment du choc, les deux particules mêlent leurs zone d'impénétrabilité et neutralisent leurs charges inverses ( + = .). Seule reste l'énergie cinétique maximum de chaque particule

Ecm = me c2 = ΔE

Cette énergie au moment de sa formation, comme lors d'un coup de gong, se met à osciller sur la fréquence (fo = ΔEo/ h), entraînant l'oscillation du champ électromagnétique qui entoure chaque PHOTON:

Fe = G me → Ee = me c2 = Ecm
λ = h . c / ΔE = 2,43 . 10-12 m = 0,0243 Å
Ecm = me . c2 = ΔE = 8,176 . 10-14 J/s = 511 KeV

On constate le même phénomène lorsqu'un ÉLECTRON, dans un ATOME, tombe d'une orbite externe (A) sur une autre (B) plus près du NOYAU, en abandonnant une partie (ΔE) de son énergie électrocinétique qui s'envole sous la forme d'un PHOTON.
(Voir : orbites permises)

Dans les atomes complexes, les ÉLCTRONS se répartissent sur des orbites successives ; les plus externes sont parfois occupées par un seul ÉLECTRON qui est à l'origine d'un disque de valence. Dans tous les autres cas : deux ÉLCTRONS, jamais plus, en opposition de phase saturent une même orbite dont le rôle n'est que structurel.

Exemple d’électrons dans un atome complexe

CHLORE (35Cl) z = 17 A = 35 Valence = 2 δ = 1,56 gr/cm3

Comme le cas précédent, les sept ÉLECTRONS du niveau (M) peuvent, selon l'environnement de l'atome, rester isolés ou se grouper deux par deux, de telle sorte que le CHLORE présente 2, 3, 5 ou 7 disques de valence.

Représentation des disques de valence d'une molécule de chlore.




Schéma simplifié

– Structure électronique des atomes dans leur état fondamental





Dans un atome complexe, on constatera que les ÉLECTRONS se répartissent en deux catégories :

  • Les ÉLECTRONS actifs exerçant deux fonctions différentes :
    • les uns, de valence ; ce sont ceux qui, seuls sur une orbite, génèrent un disque de valence.
    • les autres, de structure ; ce sont ceux qui, deux par deux, saturent une orbite et génèrent un disque de structure.
  • Les ÉLECTRONS passifs glissent entre les disques de structure des différents niveaux : jusqu'à (10), au niveau (Mp) ; jusqu'à (10 + 14), aux niveaux (Np et Op). Leur rôle se limite à compenser une quantité d'électricité nucléaire (q+).

Le rôle des ÉLECTRONS ne se limitera pas à celui de satellite autour d’un noyau. Plus tard, du fait de leur légèreté des ÉLECTRONS, dans un câble, de proche en proche, se transmettront un mouvement qui fera croire qu’un courant électrique se propage dans un câble à la vitesse de la lumière.

D’autres phénomènes se manifesteront : des ÉLECTRONS immobiles sur un fil conducteur génèreront un champ électrique, s’ils sont animés d’un mouvement régulier, ils créeront un champ magnétique ; s’ils oscillent, il s’en suivra un champ électromagnétique qui s’envolera. C’est l’onde radio qui quitte l’antenne pour venir alimenter nos récepteurs.