ÉLECTRICITÉ :

Généralités

Electricité ce sont uniquement des électrons et des positrons qui s’attirent l’un l’autre jusqu’à se superposer. Mais deux de même signe se repoussent alors qu’ils peuvent se juxtaposer sur la surface d’un noyau atomique. Généralement les électrons et les positrons restent sous leur forme de particules entourées d’un champ électrique. Mais peuvent s’étaler à la surface d’un noyau atomique.

Les électrons (négatifs) et les positrons (positifs) quel que soit leur longévité continuent à éjecter leur électricité. C’est un mystère que personne n’explique.

Selon Futura, dans un nuage d’orage, les gouttes d’eau les plus lourdes chargées négativement tombent au pied du nuage. Les autres positives restent au sommet du nuage. Entre les deux l'air (un bon isolant) les tient à distance... jusqu'à ce que l'écart entre ces deux charges devienne trop important. Cette fois, plus d'isolation qui tienne ! Un éclair se forme entre les deux, dans le cumulonimbus.

Généralement les électrons et les positrons restent sous leur forme de particules entourées d’un champ électrique. On les retrouve aussi étalées et juxtaposées à la surface d’un noyau atomique.

Courant électrique :

Ce courant se manifeste uniquement dans la matière constituée d’atomes dont les électrons des spires les plus externes sont instables. Lorsque l’un s’échappe l’atome devient positif et attire un nouvel électron.

Imaginons un fil conducteur aux extrémités liées à une pile, les électrons libres sont attirés par l’atome positif le plus proche. De saut en saut ils parviennent à l’extrémité positive. Tous ensembles ils constituent un courant continu. Il faut savoir que L’électricité, à elle seule, génère trois autres forces fondamentales.

En effet, si vous placez des électrons immobiles sur un câble, leurs charges cumulées rayonnent un champ électrique constant qui se propage dans l’environnement proche. Si vous animez ces électrons sous la forme d’un courant continu et régulier un champ magnétique constant se mêle au précédent. Si maintenant vous animez les électrons d’un mouvement rapide de va et vient les deux champs précédents se mêlent en un champ électromagnétique qui s’envole au loin comme les ondes radio, qui d’un émetteur, parviennent jusqu’à chez vous.

L’électricité selon Feynman :

Dès la première page de son livre « Electromagnétisme », Richard Feynman (1918-1988) est captivant.

Considérons une force analogue à la gravitation qui varie comme l’inverse du carré de la distance, mais qui soit environ 1036 fois plus intense. Et avec une autre différence. Il y a deux espèces de matière, que nous pouvons appeler positive et négative. Celles de même espèce se repoussent et celles d’espèce différentes s’attirent, contrairement au cas de la gravité où il y a seulement attraction. Que va-t-il se passer : un amas d’éléments positifs se repousserait avec une force énorme et éclaterait dans toutes les directions. Un amas d’éléments négatifs en ferait autant. Mais un mélange égal de positifs et négatifs ferait quelque chose de tout à fait différent. Les éléments opposés seraient maintenus ensemble par des attractions énormes. Le résultat global serait que les forces terrifiantes s’équilibreraient entre elles presque parfaitement en formant des mélanges fins et serrés d’éléments positifs et négatifs, et entre deux amas d’un tel mélange il n’y aurait pratiquement pas du tout d’attraction ou répulsion.

Personne n’a tenu compte de ce texte pourtant fondamental : Deux charges électriques inverses, en se liant, ne disparaissent pas mais se superposent et se neutralisent.

Ce texte laisse imaginer qu’il pourrait y avoir des grains minuscules neutres constitués de deux unités d’électricité superposées: l’une positive (q+), l’autre négative (q-), laissant s’échapper quelques brins doubles générant une force attractive dite gravitationnelle. C’est la description d’un neutrino.

Dans certaines circonstances deux charges inverses identiques peuvent se superposées.
Entendons-nous bien, un électron et un positron s’attirent avec une telle violence qu’ils s’éclatent sans se superposer.

Voyons le cas inverse, les grains neutres- () ne peuvent se dissocier en () et () que si ces derniers se lient à d'autres grain- neutres () sur lesquels chaque demi grain d’électricité forme une sorte de fluide élastique qui s’étale sur toute la surface disponible. A ce moment les brins qui s’échappaient sous forme gravitationnelle disparaissent.






Les deux charges identiques, par exemple à la surface d’un atome se juxtaposent :

Si une unité de charge électrique (1) de l’intérieur d’un noyau atomique se dirige à l’arrière de la surface (2) où les unités d’électricité laissent entre elle un espace par où s’infiltrent quelques brins du flux de (1). Ces brins identiques à ceux de la surface en créant une force répulsive ouvre l’espace et s’y glisse.




L’électricité c’est quoi ? 

Ce sont des électrons et des positrons qui face à face s’attirent. Alors que deux de même nature se repoussent

Les positrons :


Un positron (1) est une sphère qui rayonne une unité d’électricité positive oscillant sur la fréquence (fo = 2,27192 Hz) et renferme 200.000 neutrinos ().La surface de cette sphère est extrêmement souple, elle s’ouvre et en se rétractant (2) elle devient un socle sur une suite des 200.000 neutrinos.

Ce socle, est fait d’une matière inconnue, d’où sort en permanence droit devant un grand nombre de minuscules flux d’électricité positive oscillant sur la fréquence (fo = 2,27 1023 Hz). Ces flux forment un champ d’une unité constante et insécable d’électricité positive égale à (e = 1,6 10-19) Coulombs.

Ce sont les neutrinos, qui accompagnent le positron, qui lui donne son poids de 9,109 x 10-31 kg = 511 keV.

Les socles sont faits d’une matière inconnue, extensible et rétractile. Ils peuvent se développer jusqu’à former une sphère avec le même nombre de flux, puis revenir dans leur forme contractée. Ses extrémités sont neutres. Il en résulte que deux unités d’électricité de même signe peuvent se juxtaposer sans mêler leurs flux. En se juxtaposant elles laissent entre elles un mince interstice neutre (page ci-dessus).

Le positron dans sa forme rétractée peut s’allonger à la surface d’un noyau atomique ou reformer une sphère qui rayonne la même quantité d’électricité positive (e+ = 1,6.10-19 C) oscillant sur la fréquence (fo = 2,27 1023 Hz).

L’électron est absolument identique au positron sauf que son socle émet des flux d’une unité négatifs d’électricité insécable (e- = 1,6.10-19 C), oscillant sur la fréquence (fe = 2,27 1023 Hz).

Les électrons et positrons sont des sphères formées de deux unités d’électricité l’une négative (e-) l’autre positive (e+) insécables mais cumulables, oscillant sur la fréquence (fo = 2,27 1023 Hz).

A distance un électron face à un positron.


Fe = k (q1 + q2) / d²
k = 9.10-9
En Newton


S’il arrivait qu’ils s’approchent trop ils s’éclatent.



             
1 2 3

Un neutrino (1) est une sphère (2) dont la surface est constituée des deux unités inverses d’électricité (3) qui oscille sur la fréquence (fo = 2,27192 Hz).

Comme l’explique Feynman : les forces terrifiantes s’équilibreraient entre elles presque parfaitement en formant des mélanges fins et serrés d’éléments positifs et négatifs, et entre deux amas d’un tel mélange il n’y aurait pratiquement pas du tout d’attraction ou répulsion.

Autrement dit : dans le bi-socle (3) les deux flux se croisent en générant une force attractive qui collent fermement les deux socles en laissant s’échapper une fraction d’électricité neutre dans une proportion de (10-36) fois plus faible que l’ensemble des deux flux. Chaque brin double du flux dès sa sortie du bi-socle est composé d’un brin plus, et d’un brin moins c’est-à-dire neutre, enlacés, oscillant sur la fréquence (f = 2,27192 Hz) et engendrant, en permanence, une force attractive. Ces doubles brins sont neutres comme le flux dont ils sont l’un des constituants.


                  
             
3 4 5


Le bi-socle (3) sépare ses deux socles l’un positif l’autre négatif, chacun se garnissant de 200.000 neutrinos pris dans l’environnement. Chacun des deux socles reforment une sphère qui enveloppe ses 200.000 neutrinos et reforment l’un un électron l’autre un positon.

On retrouve la désintégration d’un neutrino dans un neutron sans savoir ce qui déclenche ce phénomène (page 11)

Un neutrino face à un neutrino :

  Fe = G (m1 + m2) / d²
  G = 67.10-11
  En Newton

La force attractive entre deux neutrinos est 10-36 fois plus faible que la force attractive entre un électron et un positron.

Comment est perçue l’électricité ?

L’électricité se manifeste lorsque les flux se rencontrent : s’ils sont de même signe ils créent une force répulsive, s’ils sont de signe inverses, ils créent, à distance, lorsque leurs flux se mêlent une force attractive. S’ils vont jusqu’à se touchers ils éclatent. Pourtant les neutrinos sont faits de deux charges électrique inverses entourées d’un faible champ électrique neutre (page 27).

Avez-vous remarqué que les électrons, les positrons et les neutrinos sont de même nature électrique. La différence gravitationnelle du neutrino vient de sa faible puissance (10-36) fois plus faible que la force électrique attractive entre positron et électron. D’ailleurs les physiciens dans leurs expériences ont remarqué que l’électricité, la gravitation et la lumière sont intimement liés et que la lumière modifie les interactions gravitationnelles.

Les physiciens sont troublés en constatant que la gravitation modifie la lumière comme le fait un champ magnétique (effet Zeeman).

Par ailleurs les équations qui permettent de calculer la force attractive entre deux charges électriques inverses ou entre deux neutrinos sont les mêmes à part de petites différences dans les constantes du fait de la différence des unités de mesure.

La gravitation, bien qu’étant de nature électrique, reste universellement reconnue comme gravitationnelle. En effet les deux flux d’électricité emmêlés dès le départ se neutralisent et ne manifestent donc pas leur nature électrique mais uniquement, leur force attractive qui est le propre de la gravitation.

Electricité statique

L'ambre frotté était connu depuis l'antiquité pour attirer des objets légers comme une plume.

En 1750, Benjamin Franklin par diverses expériences sur la foudre, prouva que les éclairs sont de nature électrique.

On sait aujourd'hui que l'électrostatique peut être à l'origine de l'explosion d'un silo à grain, qu'elle provoque un choc si, par temps sec, on attrape un chariot de supermarché ou si l'on touche la carrosserie d'une voiture.

Electrostatique est utilisée par certaines technologies de photocopieurs et s'avère utile en biophysique dans l'étude des protéines.

Pour comprendre les phénomènes électrostatiques il faut savoir que certains atomes ont tendance à perdre un électron alors que d'autres sont aptes à l'accueillir. Les premiers deviennent des ions positifs, les seconds des ions négatifs.

Quand on frotte certains matériaux entre eux, les électrons superficiels des atomes de l'un sont arrachés et récupérés par les atomes de l'autre. Par exemple une tige de verre frottée sur un tissu de soie se charge positivement, car ses atomes perdent des électrons au bénéfice de la soie ; si on frotte un ballon de baudruche sur des cheveux secs, on le charge négativement, car il capte des électrons aux cheveux.

Il faut aussi considérer deux catégories de corps : les isolants, où l'état d'électrisation se conserve localement et les conducteurs où cet état se répartit sur leur surface.

Deux charges égales et de signes contraires (ci-dessous) s'attirent et se neutralises :

Les deux charges électriques (Q1 et Q2) séparées d'une distance (d) s'attirent avec une force (F)

F = K . Q1 . Q2 / d2 en Newton

La triboélectricité, selon Wikipedia :

(du grec tribein qui signifie frotter) désigne un autre phénomène électrostatique par lequel lorsque l'on met en contact deux matériaux de nature différente, une partie des électrons de la surface de contact d'un des deux matériaux est transféré à l'autre, et ce transfert subsiste lors de la séparation. L'effet triboélectrique peut être augmenté si l'on fournit de l'énergie mécanique en frottant les matériaux l'un contre l'autre..]