1
2
Premiers instants de l’univers :
14.5 milliards d’années avant le
présent,
Dans l’infini du vide il n’y avait rien, lorsque dans un volume aux dimensions
de l’univers, émergea, un nuage de neutrinos d‘une densité d’un milliard de
neutrinos dans le volume d’un neutron.
Dans un autre livre intitulé « L’ORIGINE DE L’UNIVERS » je démontre
qu’un NEUTRINO est à la fois deux charges électriques inverses qui se
neutralisent et la projection d’un champ gravitationnel relatif à un poids de
(4,45 10-33gr).
Les neutrinos (les petits points noirs) bousculés au hasard de l’agitation
thermique et sous l’action de l’attraction gravitationnelle relative à leur poids
3
formèrent des amas de toutes les grosseurs qui s’assemblaient, se séparaient
pour se recomposer entre eux. Dans ce perpétuel changement parmi les amas
instables il se trouva des neutrons (N) faits chacun d’un milliard de
neutrinos. Ces neutrons ont une vie de 15 minutes, au-delà ils éclatent.
Les neutrinos forment des
neutrons dont la vie est de 15
minutes.
▼ Un neutron dont la vie est de 15 minutes.
4
5
,
_____________________________________________________________
____XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
6
____________________________________________________________
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
7
Des triplets d’atomes :
8
Mes souvenirs :
Nous étions en 14.5 milliards d’années avant le présent lorsqu’aux dimensions
de l’Univers émergea un nuage invisible de neutrinos dans lequel
apparaissaient des neutrons constitués chacun d’un millard de neutrinos.
Dans un autre livre intitulé « L’ORIGINE DE L’UNIVERS » je démontre
qu’un NEUTRINO est à la fois deux charges électriques inverses qui se
neutralisent en projetant alentour un champ gravitationnel relatif à un poids de
(4,45 10-33gr).
Les neutrons dont la vie est reduite à 15 minutes, au-delà se transforment en
atome d’hydrogène.
Pendant que se créent 100 hydrogènes, 25 se transforment en hélium dont 5
deviennent des lithiums. Ces trois atomes forment un triplet contemant 75¨%
d’hydrogène, 20% hélium et 5% de.lithium.
J’ai remarqué que l’univers reste l’univers avec un nuage invisible de
neutrinos et aujourd’hui des millards de milliards de triplets qui attendent. Des
bruits courent qu’il se prépare un projet formidable.
9
10
Nous retrouvons l’univers
200.000 ans après son origine
Nuage de neutrinos
Création des triplets d’atomes
Pendant que se créent
100 atomes d’hydrogènes
25 se
transforment en hélium dont 5 deviennent des lithiums. Ce sont
des proportions constantes.
Maintenant que vous preniez un volume quelconque dans cet
ensemble vous aurez toujours :
75 % d’hydrogène, 20 %
d’hélium et 5% de lithium.
11
L’Univers:
12
Nous retrouvons l’univers
500.000 d’années après l’origine
Pendant que se créent
100 atomes d’hydrogènes
25 se
transforment en hélium dont 5 deviennent des lithiums. Ce sont
des proportions constantes.
Maintenant que vous preniez un volume quelconque de cet
ensemble, vous aurez toujours : 75
% d’hydrogène, 20 %
d’hélium et 5% de lithium.
13
L’univers :
14
Les Étoiles III
Mes souvenirs :
200.000 ans après son origine il y avait dans l’univers assez de triplets pour
former plusieurs étoiles du groupe III qui dans leur vie bruleront ces triplets
mais crèeront des neutrinos qu’elles éjecteront régulièrement pour enrichir le
nuage originel. Elle produiront également de nouveaux atomes. A leur mort
les étoiles en explosant mêleront ses nouveaux atomes à ceux de l’univers.
De sorte que les étoiles en formation emporteront un gaz de triplets enrichi
des atomes des précédentes étoiles.
De générations en génération les étoiles créeront la totalité des atomes du
tableau de Mendeleïev,
Avez-vous remarqué que les étoiles créent des neutrinos qui vont servir à créer
des triplets et de nouveaux atomes qui enrichissent l’univers c’est un
mouvement évolutif que l’on peut résumer :
1 ± Les atomes d’hydrogènes fait de neutrinos sont produits en permanence
en même temps que partiellement ils sont réduits en hélium et lithium.
2 ± les étoiles créent des neutrinos qui remplacent ceux qui se sont transformés
en atome d’hydrogène
Ce donné pour un rendu constitue le moteur de l’évolution que l’on peu
schématiser comme ci-dessous :
15
Ce moteur de l’évolution est sans fin : à partir des neutrinos du
nuage se forment les triplets d’atomes et des étoiles restituent au
nuage originel les neutrinos stellaires C’est ce qu’on appelle
« Un donné pour un rendu »
16
Suite des voyages stellaire :
Création des étoiles type II
Liste des atomes des étoiles III
17
18
Nous retrouvons l’univers
2 milliards d’années après son origine
Pendant que se créent
100 atomes d’hydrogènes
25 se
transforment en hélium dont 5 deviennent des lithiums. Ce sont
des proportions constantes.
Maintenant que vous preniez un volume quelconque dans cet
ensemble vous aurez toujours :
75 % d’hydrogène, 20 %
d’hélium et 5% de lithium.
19
L’Univers :
20
Création des étoiles I
Liste des atomes des étoiles II
Et la suite sodium,magnésium, alluminium, et silice.
21
22
Nous retrouvons l’univers 4 milliards
d’années après son origine
Pendant que se créent 75 atomes d’hydrogènes il se crée 20
hélium et 5 lithium. Ce sont des proportions constates.
Maintenant que vous preniez un volume quelconque dans cet
ensemble vous aurez toujours :
75 % d’hydrogène, 20 %
d’hélium et 5% de lithium.
23
L’Univers:
24
Les planètes :
Selon Google, dans le gaz enrichi de nouveaux atomes certains en se liant
formèrent des chondrites considérées comme les premières molécules à partir
desquels se sont formés les planètes des étoiles et les astéroïdes. Ces
chondrites sont constituées de petites billes (chondres) presque exclusivement
composées de silicates : Sel mêlant la silice (Si) à un oxyde de béryllium
A la mort des étoiles de population II, leurs débris enrichiront le gaz cosmique
d’un grand nombre de nouveaux atomes qui serviront à la formation des
nouvelles étoiles.,
Selon Wikipédia : ces étoiles deviennent des supernovæ à leur fin de vie. Ce
terme apparaît souvent comme une étoile nouvelle, alors qu'elle correspond en
réalité à la disparition d'une étoile.
Liste des atomes des étoiles I :
Phosphore, soufre, chlore, argon, potassium, calcion,
scandium, titane, vanadium, chrome, manganèse et peut être
d’autres...
25
26
Nous retrouvons l’univers
6 milliards d’années après son origine
Pendant que se créent
100 atomes d’hydrogènes
25 se
transforment en hélium dont 5 deviennent des lithiums. Ce sont
des proportions constantes.
Maintenant que vous preniez un volume quelconque dans cet
ensemble vous aurez toujours :
75 % d’hydrogène, 20 %
d’hélium et 5% de lithium
27
L’Univers :
Des molécules pour aménager les planètes
28
Suite des atomes des étoiles I
Fer, nickel, cuivre, zinc, gallium, germanium, arsenic,
sélénium, brome, krypton, rubidium, strontium,
yttrium, zirconium et le restant des atomes du tableau
de Mendeleïev.
29
30
Nous retrouvons l’univers
10 milliards d’années après son l’origine :
Pendant que se créent
100 a9tomes d’hydrogènes
25 se
transforment en hélium dont 5 deviennent des lithiums. Ce sont
des proportions constantes.
Maintenant que vous preniez un volume quelconque dans cet
ensemble vous aurez toujours :
75 % d’hydrogène, 20 %
d’hélium et 5% de lithium
31
L’Univers :
32
Création du système Solaire :
Il y a 4,5, milliard d’années avant le présent, le gaz de l’univers en plus des
triplets qui forme toujours un ensemble de 75 % d’hydrogène, 20% d’hélium,
5% de lithium il y a, en plus, quasiment tous les atomes du tableau de
Mendeleïev
Une fraction locale de ce nuage tourne sur elle-même. De plus en plus vite.
Cette extrême vélocité finit par le faire s'effondrer et s’aplatir sous l'effet de la
gravitation. Il se tasse de plus en plus et sa température augmente
considérablement. Le Soleil, aura mis 3 millions d'années, jusqu'à ce que sa
température atteigne (15 millions de degrés) et qu’il devienne une sphère de
695.500 Km de rayon et d’un poids de 1,9891×1030 kilogrammes. En un mot :
Pour qu’il devienne le SOLEIL.
Lors de sa formation, le Soleil avait laissé à distance des amas d’atomes de
toutes les grosseurs. Les plus petits restèrent sous forme de météorites les plus
gros formèrent des protoplanètes qui par accrétion de leur environnement
devinrent, des planètes dont la Terre qui tourne sur elles-mêmes et autour de
Soleil.
33
Création de la TERRE
Son origine, Il y 4,3 milliard d’années la terre était formée des mêmes atomes
que le Soleil à savoir : 75 % d’hydrogène
(1H, 2H) 20 % d’hélium (3He, 4He, 5He,
6He) 5 % de lithium et les autres atomes du
tableau de Mendeleïev, sous des formes
déjà évoluées C, O, N, Mg, Fe. Du fait de
la rotation terrestre les éléments les plus
lourds comme le fer s’assemblèrent au
centre et les plus légers en surface. La terre
à son début était un magma.
Progressivement en surface il se créa une
croûte, au-dessus de laquelle les éléments
légers formèrent un nuage.
Sur la Terre, dès son origine, tombèrent
des météorites. Les chocs successifs engendrèrent de la chaleur augmentée par
les coulées de larves, la radioactivité du sous-sol, les rayons ardents du Soleil,
et les éclairs entre deux zones d’électricité inverses.
34
Les molécules.
Dans cette chaude ambiance, l’hydrogène et l’oxygène se mêlèrent à
d’autres atomes pour former les molécules d’eau (H2O), et, en moindre
quantité, du monoxyde de carbone (CO), du dioxyde de CARBONE (CO2),
du sulfure d’HYDROGENE (H2S), du METHANE (CH4), de l’ammoniac
(NH3) de l’AMMONIUM (NH4), de l’AZOTE
(N2), l’ETHANE
(C2H6),
l’ETHYLENE
(CH2=CH2), des cyanures d’HYDROGENE
(H-C≡N), des
FORMABLE HYDES
(CH2O), des CYANOGENES
(2C
2N), des CYAN
ACETYLENES (NHCO) et des composés connus sous le nom de NITRILE
(CH3-C≡N), (CH3CH2-C≡N), (CH2=CH-C≡N), (C6H5-C≡N), et quelques
gaz rares.
Les atomes et les molécules formèrent progressivement autour du globe
ce que nous appelons l’atmosphère. On y remarque la présence d’eau
(environ 80%), dioxyde de carbone (CO2) et diazote (N2) (5%) et on
observe particulièrement l’absence de dioxygène (O2) et de dichlore (Cl2).
L’oxygène gazeux manquera à l’atmosphère et le chlorure de sodium (Na
Cl) manquera à l‘océan.
L’eau de l’océan, dans plusieurs millions années, lessivant les roches
terrestres,
se chargera progressivement de sel. L’atmosphère ne
retrouvera du dioxygène (O2) seulement 1 milliard d’années (avant
le présent) en même temps que la création de la photosynthèse.
35
Il y a 4 milliards d’années se forma
un océan autour du continent :
300 millions d’années après la formation de la terre la forte quantité de
vapeur d’eau présente dans l’atmosphère, entraîna un véritable déluge
qui forma l’océan.
Ce bouleversement a fait diminuer de façon importante la température de la
surface terrestre qui n’est plus que de
100°C. L’ensemble de ces
transformations fait que l’azote
((N2)) devient le constituant majeur de
l’atmosphère terrestre, alors que l’oxygène CO2 y est absente comme le sel
manque dans l’océan qui, par ailleurs est riche de tout ce qui était tombé du
ciel comme le CO2. Cet acide use les roches volcaniques en arrachant entre
autres minéraux du calcium. L’association entre le CO2 et le calcium donne
du carbonate de calcium (CaCO3) (calcaire). Ce calcaire précipité dans l’eau
de l’océan y forma des couches qui vont donner les premières roches
sédimentaires.
Selon Darwin (1809- 1882) les molécules biochimiques réparties dans le vaste
océan ne pouvaient se rencontrer pour édifier des cellules vivantes en réalité :
« La vie est apparue dans un petit étang chaud, dans lequel il y avait un
riche bouillon de produits chimiques et organiques, à partir desquels s’est
formé le premier organisme primitif à la suite d’une longue période
d’incubation durant les temps géologiques »
On peut imaginer qu’il y a 4 milliards d’années il y avait près du rivage une
lagune, non loin d’un volcan, selon une supposition de Miller approuvée par
Jeffrey Bada et Antonio Lacanau. L’océan, dépourvu de sel et chaud de
quelque 50°/60°C avait envahi la lagune, où se déversait un modeste ruisseau.
L’ensemble bien isolé de l’océan possédait cependant des failles qui laissaient
passer les plus hautes vagues. L’eau de l‘océans était dépourvue de sel, mais
riche en oxygènes et autres éléments : des phosphates, des acides aminés.
L’apport d’eau compensant les pertes par évaporation et fuites diverses, fut à
l’origine d’une concentration d’éléments biochimiques qui, au fil du temps,
devint de plus en plus importante.
36
Cette lagune constitua une soupe chaude (environ 50°C), où au terme d’un
certain temps, les éléments des océans s’y trouvaient concentrés, chacun à
plusieurs millions d’exemplaires par mètre cube.
Il y a
14 milliards d’années la lagune était riche de toutes sortes
d’éléments chimiques et biologiques bousculés par l’agitation thermique.
Parmi lesquels, ci-dessous, se trouvaient les éléments à l’origines de la
vie :
37
BASES NECESSAIRE A LA VIE
ADENINE (A), CYTOSINE (C), GUANINE (G) et URACILE (U)
Cytosine C
Uracile U
Adénine A
Guanine G
Les bases se lient uniquement (U et A) et (C et G) toute autre est
impossible
Les glucides en ose.
Des phosphates
Remarques : Les quatre bases
(C,U,A,G), le ribose et le
phosphate sont fait uniquement de cinq atomes : phosphore,
hydrogène et trois autres : azote, carbone et oxygène. Ces
atomes suffiront à la création des ARN supports de la vie. N’oubliez
pas que tous se passe dans une lagune.
(
38
Assemblage d’un ARN :
Les codons sont faits des quatre bases (Page 37) liées par deux soit
(42 = 16) possibilités (AA, AC, AG, AU, CC, CG, CU, CA, GG, GU, GA,
GC, UU, UA, UC, UG) si chaque binôme est séparé du suivant par U on à
16 Codons (AAU, ACU, AGU, AUU, CCU, CGU, CUU, CAU, GGU, GUU,
GAU, GCU, UUU, UAU, UCU, UGU) .
Tout ARN est fait de certains de ces 16 codons dans un ordre
indifférent car ils ne sont que des supports de protéines dans
l’eau d’une lagune.
39
:
Les acides aminés
Ici il y a 16 Acides aminés et les codons sont 16
Vous assemblez dans un ordre déterminé plusieurs acides aminés et vous avez
des protéines dont seulement un faible pourcentage correspond à une activité
déterminée. C’est vous dire qu‘il est difficile d’y aller au hasard pour trouver
la protéine qui correspond à une activité.
40
Remis plus tard par Mémoire Métabolique
Il suffisait de faire la liste des acides aminé et en face l’un des
16 codons et sur la même ligne son anticodon.
Par exemple : Acide Valine = Val
Condon GUU = Anticodon CAA
Voir page 17 les bases se lient uniquement (U et A) et (C et G) toute
autre est impossible.
Voir page 45 , ADNt
41
Exemple de Travail (Protéine + ATP)
◄Codon ……..…….…
……..……Codon▼
A gauche un dessin simple. A droite
proche de la réalité : un long ADN et
ses protéines
(invisibles) qui lui
donnent cet aspect.
▲Acide aminé Asn……Acide aminé►
ADNt ▲
ADNt dont le rôle est de porter les acides aminés grâce à l’énergie de leur
ATP.
On ne sait pas pourquoi dans l'ARN, l'uracile (U).est parfois remplacé par
la thymine (T) pour faire un ADN mais c’est comme cela depuis les toutes
premières cellules vivantes pour le même usage on trouve un ARN ou un
ADN.
42
Les spécialités des Protéines
On sait qu’il y a des protéines qui ont une spécialité mais on n’a pas de
répertoire pour retrouver la protéine. Si ce n’est aller au hasard.
Les protéines des structures, qui permettent à la cellule de maintenir son
organisation.
Les protéines de transport, qui assurent le transfert des différents éléments
dans la cellule.
Les protéines de régulation qui modulent l'activité d'autres protéines,
Les protéines du mouvement, permettant aux cellules de se mouvoir.
Les protéines de signalisation, captent et retransmettent les signaux.
Les protéines motrices permettant aux éléments de se mouvoir ou de se
former.
Les protéines de stockage qui permettent la mise en réserve.
Certaines protéines sont pourvues d'un mécanisme de
« correction
d'épreuve » qui sont capables de faire le même travail à la suite sur plusieurs
sujets et de contrôler ce qu’ils viennent de faire avant de passer au suivant. Ce
processus en deux étapes permet d'atteindre la perfection du travail.
Les protéines reçoivent des messages pour réaliser le travail qu’ils
connaissent à tel endroit et le travail est fait comme demandé.
Cela peut vous sembler impossible mais des spécialistes l’ont constaté in vivo,
in vitro. Il faut nous habituer à les croire sur parole, car d’autres surprises nous
attendent. Comme la mémoire métabolique qui contrôle toutes les protéines
d’une cellule et enregistre les différents travaux qu’elles réalisent.
43
44
Création des ATP :
Les trois éléments de la page 36 : Adénine, ribose,
et phosphate se lient tout naturellement. Mais c’est
avec trois phosphates qu’il est efficace.
Pour acquérir deux phosphates de plus, il faut
passer par le cycle glycolyse mis en place, plus
tard, par la Mémoire Métabolique.
Un ATP efficace est constitué de
trois phosphates
► ► ► ►,
C’est en abandonnant ce troisième
phosphate qu’il produit son énergie.
Pour accomplir un travail il faut une
protéine pour le savoir-faire et un
ATP pour avoir l’énergie de le faire.
45
Cycle de glycolyse
ll faut deux ATP pour démarrer le cycle et on en retrouve quatre soit un
gain de deux ATP. Mais le cycle demande d’avoir des protéines qui
resservent en permanence.
46
Exemple de Travail (Protéine + ATP)
◄Codon ……..…….…
……..……Codon▼
A gauche un dessin simple. A droite
proche de la réalité : un long ADN et
ses protéines
(invisibles) qui lui
donnent cet aspect.
▲Acide aminé (Asn)……Acide aminé►
ADNt ▲
ADNt dont le rôle est de porter les acides aminés grâce à l’énergie de leur
ATP.
On ne sait pas pourquoi dans l'ARN, l'uracile (U).est parfois remplacé par
la thymine (T) pour faire un ADN mais c’est comme cela depuis les toutes
premières cellules vivantes pour le même usage on trouve un ARN ou un
ADN.
47
Exemple de copie
◄En haut un ARNt dans
son état normal qui
dessous s’alonge en
(1)
pour se prêter à la
◄duplication.
◄ Page 36 : Les bases se
lient uniquement (U et
A) et
(C et G) toute
autre est impossible.
◄En bas vous avez deux
ADNt allongés et liés (1)
et
(2) : le
(1) l’original
restitué,
◄(2) la copie en rouge
qui est la matrice allongée
avec laquelle vous allez
refaire, un à un de
nouveaux ADNt dans
leur entier.
Les ARN et ADN sont identiques et constituent le seul support de la vie.
48
Rapport de la Mémoire Métabolique :
J’ai apprécié votre travail, mais à partir de la page 40, il me reste à réaliser
des ADNt (Ci-dessous) dont le rôle est de porter les acides aminés grâce à
l’énergie de leur ATP.
Une protéine à copier, de 4 acides aminé :
ALA, ASP, LEU PRO .
En dessous vous mettez le codon correspondant GCU GAU. CUU CCU
◄Codon
◄Acide aminé
49
Fabrication de protéines
La Mémoire Métabolique a sur place tout le matériel nécessaire à la
fabrication des protéines.
Principalement l’ARN sur lequel est marqué la composition des 20
protéines à copier.
20
Dessin N°1 : le gène de traduction des 20 protéines est en place (4).
Le premier (ARNt (UUA-Asn) (2) dont l’anticodon (UUA) est attiré par le
codon (AAU) est mis en place. C’est alors que deux équipes interne et externe
placent la partie (P) du ribosome (1) juste au-dessus de ce premier ARNt
(UUA-Asn) (2)
Signalons que le ribosome (1) est garni de protéines et que sa partie lourde
absente est remplacée par des ouvriers externes et internes.
La mémoire métabolique a enregistré les diverses manipulations.
On n’en reste là. Suite au prochain tableau.
LA Mémoire Métabolique a enregistré sur un ARN la liste des acides animés
qui composent les protéines dont on a besoin sans oublier ceux du cycle
glycolyse.
50
Dessin N°2, le ribosome léger (1) reste en place. Le codon (CGU) attire
l’anticodon (GCA) du ARNt (GCA-Arg) (2) qui avec l’aide habituel est mis
en place. Pendant ce temps Un ATP (3) qui tient l’acide aminé (Arg) (4) tire,
en même temps sur l‘(Asn) (5) qui se libère simultanément de l’anticodon (6),
et du transcription (7). L’ATP (3) n’a plus qu’une chose à faire ; lier l’(Asn) à
l’(Arg).
A cet instant les ouvriers internes et externes constatent que la partie du gène
de structure sous la zone (P) du ribosome est vide et s’apprrtent à déplacer le
ribosome d’un codon.
La mémoire métabolique a enregistré les diverses manipulations pour créer
les protéines.
51
Dessin N°3 : Imaginez la suite de tableau précédent : le ribosome (1) déplacé
d’un codon vers la droite et l’(ARNt + la protéine en formation) (2) en place
sous la zone (P) du ribosome (1). Le codon sous la zone (A) étant vide attire
(ARNt+ Ala) (4) que les ouvriers ont mis en place. C’est là le début du cycle
répété tout au long du gène de transcription (7).
Le cycle dans tous ses détails : l’(ARNt +Asn et Arg) (2) est lié au gène de
transcription (7). Un ATP (4) tient l’acide aminé (Ala) (4) pendant que (ATP)
(3) d’un coup libère la protéine en formation (2) de son codon (4) qui lui-
même se délie du gène de transcription (7)
Une équipe mixte externe et interne constatant le codon vide sous la partie (P)
du ribosome (1) le déplacent d’un codon sur la droite lorsqu’il est en place, le
codon sous (A) attire l’anticodon (CGA) d’un ARNt (GCA-Ala) (4), qu’une
équipe met en place.
La mémoire métabolique a enregistré les diverses manipulations.
Ainsi de suite jusqu’au codon stop (UAG).
52
Dessin N°4 : entre le précédent tableau et celui-ci les ouvriers ont réalisé 4
cycles. De sorte qu’ils ont déplacé, quatre fois d’un codon, le ribosome (1) et
que la protéine (2) s’est allongée de 4 acides aminés. Il reste à l’ATP (3) de
saisir (Asn)) et de l’autre bras délier d’un coup la protéine (2) de son codon et
celui-ci du gène de transcription (7) Les équipes interne et externe constatant
que le codon sous la zone (P) du ribosome (1) est vide, et que devant c’est un
stop (UAG). En respectant une convention devant ce cas le ribosome passe le
stop et les ouvriers repartent pour la copie d’un nouveau peptide (protéine).
S’il y avait eu deux stops à la suite c’était la fin du gène.
La mémoire métabolique a enregistré les diverses manipulations pour créer
des protéines mais comme le travail se passe dans la lagune il faudra envisager
une enveloppe cellulaire.
53
Création d’une enveloppe cellulaire :
N’oubliez pas que tout se passe dans l’eau d’une lagune il y a 4 milliards
d’années et que dans l’eau les phospholipides se multiplient
chacun des éléments est avec flagelle
Un phospholipide allongé en forme de tapis se referme tout aussi
naturellement en forment de sphère.
Mais une telle membrane est étanche à tous transferts.
Pour assurer la vie d’une cellule, les sucres, les acides aminés et divers, atomes
doivent y pénétrer. D’autre part les produits de dégradation doivent en sortir
et des ions doivent pouvoir franchir la membrane dans les deux sens, afin de
maintenir l’équilibre ionique.
Heureusement il y a des protéines pour créer: des canaux-ioniques pour les
transferts d’ions, aquaporines pour le transfert d’eau par osmose ) . . . etc.
54
Voilà tous les éléments pour créer l’enveloppe de la cellule.
55
Constituer un génome :
A propos de génome ce ne sont que les notes de la Mémoire Métabolique
misent bout à bout dans l’ordre de leur utilisation pour tout ce qui concerne
les ARN dans leur structure et leur façon de faire.
56
L’instant final
Dans les eaux de la lagune : le nouveau génome, se mêle à tous les occupants
chimiques :
Les deux sels Na+ et Cl associés forment le chlorure de sodium
« sel
marin » tant qu’ils ne sont pas liés l’eau de mer n’est pas salée.
Les gaz dissous comprennent : 64 % d'azote, 34 % d'oxygène, 1,8 %
de dioxyde de carbone.
Le restant des 94 éléments chimiques naturels sont présents dans l'eau
de mer, la plupart le sont en faible quantité et difficilement décelables.
Page (45) il faut deux ATP pour démarrer le cycle et on en retrouve
quatre soit un gain de deux ATP. Mais le cycle demande d’avoir des
protéines qui servent en permanence.
Un jour, un tapi se forma au-dessus de l’unique génome. En se refermant il
happa un grand nombre d’éléments indispensables pour constituer le
cytoplasme (liquide qui entoure le génome) de la cellule de l’ancêtre des êtres
vivant.
Apprès le choc tout semblant en place, la Mémoire Métabolique ordonna
la séparation du génome (1) et sa duplication en (3). Tout se déroula
comme on pouvait l’espérer : la mère (1) donna naissance à deux filles
exactement à son image.
57
Quelques temps après une grande marée balayèrent l’espace de la lagune et
emporta tout.
Les premières Procaryotes se retrouvèrent dans l’océan ou les éléments
nécessaires à leur survie étaient extrêmement dilués.
Curieusement 3,5 milliards d'années plus tard, je me suis renseigné près de
Wikipédia pour savoir ce qu’étaient devenus les procaryotes :
Les premiers procaryotes étaient peut-être déjà présents il y a
plus de 3 600 millions d'années mais ne furent détectés que
récemment compte tenu de leur faible longueur de 1 à 7 μm et
d’un diamètre de 0,2-2,0 μm.
Le cytosol des Procaryote contient des réserves de protéines et
de nombreux ribosomes pour leur synthèse.
La paroi donne à la cellule sa forme et la protège.
58
Les procaryotes possèdent un génome sous forme de filaments
d’ADN, qui se replie en boule.
Les procaryotes sont des organismes asexués qui possèdent un
génome sous forme de filaments d’ADN, qui se replie en boule.
Celle-ci se dédouble et chacune des deux filles hérite d’une copie
identique au génome de leur mère.
Les procaryotes aujourd’hui sont tels ils se sont créés. Il ne faut pas
oublier que, depuis les premiers neutrinos, à l’origine de l’univers,
chaque chainon s’est naturellement lié au suivant. Un effort est
accepté, s’il est naturel.
59
Dans l’océan il y a 2,8 milliards d’année
Les eucaryotes unicellulaires
Il y a 2,8 milliards d’années (avant le présent) il se produisit chez
l’un des Procaryotes un événement curieux.
60
J’ai simplifié les dessins en ne mettant que deux chromosomes dans le noyau
isolé par un enveloppe du reste de la cellule. En réalité ils sont plus nombreux
et chacun en double. A vous d’imaginer que cette cellule en état de génome
(X) contient.
A propos des génomes je me contenterai de dire qu’ils contiennent les
descriptions des éléments de structure et des ARN fonctionnels ainsi que la
mémoire métabolique qui a relevé les façons de faire les différents travaux à
fin qu’ils soient réalisés toujours de la même manière. Les génomes sont les
messagers qui font que de générations en générations les cellules restent les
mêmes.
Lors de la duplication (mitose) la cellule mère X (génome) en se dédoublant
créa deux cellules filles identiques à leur mère
(S1 et S2) Les cellules
eucaryotes se multiplièrent dans les océans. Certaines se garnirent de pigments
de chlorophylle vert parfois rouge ou brun. Se furent des algues.
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Sur le continent la vie végétale :
Vers 1 milliard d’années (avant le présent) les eucaryotes
unicellulaires deviennent multicellulaires sexualisés.
La méiose, en deux divisions successives sans duplication de l’ADN, permet à une
cellule mère (1) d’aboutir à quatre cellules. (8)
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La cellule (S), de la page précédente, est le génome qui contient tous les
chromosomes d’une cellule eucaryote multicellulaire Lorsqu’une algue se
reproduit son génome par méiose ▼ se divise en quatre.
Le zygote (Z) et la cellule (S) de la page précédente sont un ovule femelle
fécondé par un spermatozoïde, on les retrouve sous des noms divers : génome,
spore, graines, pollen, œuf.
Ici, après méiose, les deux cellules A et B garnies de pigments de chlorophylle
verte se dédoublent jusqu’à former des tiges C et D, sans capillaire. A
l’extrémité (F) il se développe un gamétange femelle qui produit des ovules et
à l’extrémité (E) un gamétange mâle qui produit des spermatozoïdes.
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Lorsqu’un ovule rencontre un spermatozoïde il y à création d’un ovule
fécondé qui selon les plantes portent le nom de zygote, spore, graine, noyau
d’un fruit, pépin etc...
Le cycle photosynthèse : Carbonne + d’eau → sucre +dioxygène.
L’oxygène ne manquait pas dans la nature mais il manquait la dioxygène (O2)
dont la forme gazeuse lui permet de se mélanger à l’atmosphère
Chez les plantes, la photosynthèse libère de la dioxygène (O2). La nuit, la
photosynthèse est suspendue, mais la plante produit du dioxyde de carbone en
quantité moindre que le dioxygène. Durant la journée en plus du dioxygène,
la photosynthèse produit de l’énergie qui permet à l’ATP de retrouver son
troisième Phosphate.
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Les algues, les mousses, les lichens sont des plantes non vasculaires qui ont
des modes de reproduction identiques et sont extrêmement dépendants de
l'eau ou des milieux humides, ou en tout cas d'une hydrométrie minimale au
moment de leur reproduction.
Les prèles et les fougères sont les premières plantes vasculaires.
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Le monde animal de l’océan :
Il, y a 800 millions d’année
Les cnidaires ce sont : les anémones de mer, les méduses et les coraux. De
nombreuses espèces vivent en colonies qui rassemblent de très nombreux
individus,
Le corail est constitué d'une colonie d’éléments qui participe à la fabrication
de son squelette.
On ignore le mode de reproduction des coraux on sait seulement qu’il y a des
colonies mâles et femelles distinctes où la progéniture est le résultat de la
fusion des gamètes, On remarque l'émission au même moment d'une grande
quantité de spermatozoïdes et d'ovules. Les spermatozoïdes qui fécondent des
ovules créent des zygotes ou génomes qui seront à l’origine d’une nouvelle
génération.
XXXXXXXXXXXXXXXXXX
Les méduses sont les plus évolués des cnidaires. Leur corps translucide est
formé d’une ombrelle (EC) recouvrant un disque portant en son centre une
bouche (B) qui donne accès à l’espace gastrique (CG)
L’ombrelle et le disque sont constitués de deux tissus, l’espace entre les deux
est comblé de cellule éparses(M). (G) regroupe l’organe de reproduction et
des cellules tactiles et photosensible reliées à des chaînes musculaire (An)
prolongées par des flagelle (T) permettant à la méduse de nager grâce à un
mouvement alterné d’élongation et de contraction de leur corps provoqué par
des protéines et des ATP
L’espace gastrique compte des cellules capables de phagocyter des cellules
unicellulaires et de les digérer. Les éléments de la digestion sont repartis à
l’ensemble des cellules par des canaux circulaire longeant le bord de
l’ombrelle.
La respiration aérobie des cellules pour fournir de l’énergie se fait directement
par contact avec l’eau.
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Reproduction les spermatozoïdes du mâle sont libérés dans son estomac avant
d’être éjectés dans les eaux maritimes. La femelle garde
ses ovules dans son estomac. La femelle ingurgite les
spermatozoïdes et la fécondation va avoir lieu à
l’intérieur même de l’estomac de la femelle. Les œufs
ainsi créés donneront naissance à de larves planaires, Une
fois qu’elle quitte la bouche de la mère, la larve planaire
va se fixer à un rocher ou bien à une algue. C’est là que
la lave se transforme en polype (excroissances). Elle
grandit ainsi jusqu’à ce que des sillons apparaissent
autour de son corps. Ces sillons se creusent et l’excroissances en vient à
ressembler à une pile de saladiers. Le bloc du dessus bourgeonne avant de se
détacher et de se transformer en larve. C’est cette larve qui au fil du temps va
devenir une méduse adulte.
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Nous sommes en 650 millions d’années avant
notre ère.
Leur système nutritif est composé d’une bouche (B) ventral suivie d’un
pharynx permettant de respirer en extrayant l'oxygène de l'eau et d’un
intestin tapissé de cellules productrices d’enzymes pour leurs permettre de
digérer leurs proies, c’est-à-dire d’extraire les matériaux (proton, sucre,
protéine, etc. ) et d’en rejeter les déchets.
Leur systéme circulatoire transporte le sang chargé d’une part des nutriments
puisès dans l’intestin ; d’autre par, l’oxygène capté par les brancies au
niveau du pharynx. Cette circulation est assurée par deux vaiseaux l’un
dorsal, l’autre ventral.ce dernier comporte des anses contractiles par des
protéines et des ATPen guise de coeur.
Leur systéme nerveux dorsal comprend, à l’avant, une masse cèrébrale
archaïque reliée, d’une part aux cellules photo-sensibles (œil), d’autre part,
aux fibrilles musculaires équipées de protéines et animées par des ATP pour
assurer des contractions.
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Le zygote (Z) organe de reproduction résultant de l’ovule pondu par le
poisson (A) femelle et fécondé par l’un des spermatozoïdes éjectés par
l’autre poisson mâle. Et le zygote (Zm) résultant d’un autre ovule provenant
du même poisson femelle et fécondé par un autre spermatozoïde. Les deux
zygotes suivront le même parcourt mais l’un sera un poisson femelle et
l’autre un poisson mâle. Ce parcourt sera éternellement le même : morula
(D), blastula (Bs), gastrula (Ga) et ainsi e suite jusqu’à la forme définitive
(Lv).
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Avec plus de détails mais c’est le même parcourt pour tous les poissons.
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Cloaque, l'ouverture postérieure qui sert de seul orifice pour les voies intestinales,
urinaires et génitales. Les autres noms vous sont connus
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Amphibien
360 millions d’années avant ‘homme
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Les végétaux sur le continent.
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+
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les reptiles
Au hasard d‘une promenade je rencontre un lézard mâle,
seul au milieu d’un amas de roches. Tout à coup, une
femelle sort d’une excavation. A son approche, le mâle
acquiert une parure brillante et colorée. Le couple de loin
exécute une série de postures prénuptiale. Mais,
subrepticement, un autre mâle vient troubler leurs ébats.
Un combat s’engage entre les deux prétendants. Ils se
dressent l’un contre l’autre en enflant leur corps, en
poussant des cris et des sifflements. A l’issus du combat
le vainqueur entre ses mâchoires puissante, saisit la femelle par le cou et
l’oblige à s’immobiliser et lui présenter sont orifice sexuel où il introduit son
pénis. En l’espace de quelques secondes, l’acte est accompli.
Le dessin du haut représente à gauche les organes mâles dont ceux qui
produisent des spermatozoïdes liés par les cloaques aux organes femelles dont
ceux qui produisent des ovules. Dans l’organe mâle on trouve rein et vessie et
chez la femelle l’uretère mais cela veut dire la même chose. De toute façon le
Cloaque, est une ouverture postérieure qui sert de seul orifice pour les voies
intestinales, urinaires et génitales
C’est donc par le cloaque que les spermatozoïdes vont féconder l’ovule
femelle qui surplace, non pas à l’extérieur mais dans l’organe femelle qu’il
devient un zygote (Z) qui se transforme en morula (D), bascula (Bs) qui
s’entoure d’une enveloppe pour être éjecté dans un œuf où il continue à se
développer et en sortir sous la forme d’un enfant lézard.
Les reptiles possèdent des poumons bien développés. Leur cœur comporte
deux oreillette un ventricule divisé en deux chambres.
Les organes des sens sont largement développés. Les tissus de leur corps sont
riches en terminaisons tactiles. Leur langue porte de nombreux bougeons du
goût. L’organe olfactif s’ouvre vers l’extérieur par les narines et dans la cavité
buccale, il, leur est particulièrement utile pour suivre les proies à l’odeur.
Leurs yeux sont adaptés à une vision nocturne ou diurne. Leur système auditif,
assez complet, leur permet une bonne perception des sons. Leur cerveau qui
n’est autre que la mémoire métabolique s’est développée, en fonction de
l’évolution de la diversité des organes. Nous sommes 280 millions d’années
avant l’HOMME.
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Les reptiles, au cours des millénaires qui suivirent, furent à l’origine des
dinosures, des serpents, des tortues, des crocodiles et des monotrèmes et les
oiseau
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La dérive génétique des lézards en dinosaures fut la plus incroyable jamais
réalisée. Les plus petits mesurent de 0,6 à 2 mètres et les plus monstrueux
jusqu’à
40 mètres. Les uns sont herbivores, les autres carnivores ou
charogards. Tous ont une petite tête qui contient un encéphale minuscule.
Les plus énormes des herbivores ont quatre membres équilibrés et mesurent
de 20 à 40 mètres de la tête à la queue. Les carnivores mesurent de 5 à 15
mères du museau à la queue. Leurs membres antérieurs réduits leur donnent
une apparence de bipède. Leurs membres postérieurs puissants leur permettent
de bondir sur des proies, auxquelles ils s’accrochent par les griffes recourbées
de leurs deux petites pattes antérieures.
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Mammifères 200 millions d’années
avant l’Homme
Les mammifères ont quatre pattes placées sous le corps. Leur peau riche en
glandes est couverte de poils. Leur boîte crânienne contient un encéphale et
un cervelet bien développé. Leurs oreilles comportent trois osselets et un
conduit auditif qui débouche dans un pavillon. Leur longer colonne vertébrale
se prolonge au-delà du corps par une queue. Leur respiration s’effectue par
des poumons. Leur cœur est divisé en deux ventricules et deux oreillettes. Leur
intestin se termine par un anus isolé alors que l’urine des deux reins rassemblés
dans la vessie est évacuée par l’urètre qui ouvre vers l’extérieur, à l’extrémité
du pénis chez les mâles et dans le sinus urogénital chez les femelles. L’ovule
est fécondé par des spermatozoïdes remontés du vagin, dans lequel un mâle
les éjecta. L’ovule fécondé (zygote) se développe dans la muqueuse où il se
transforme en morula et blastula avant d’arriver dans l’utérus. Là, il se niche
dans muqueuse où progressivement il se transforme en gastrula, neurula puis
en embryon, ce dernier baigne dans un liquide amniotique, enfermé dans une
membrane (amnios) il est relié par le cordon ombilical à la zone placentaire
de l’utérus à travers ce cordon, passent des vaisseaux qui unissent, sans lien
direct, la circulation sanguins de l’embryon à la vascularisation de la zone
d’échange placentaire de la muqueuse utérine maternelle. Le sang de la mère
et celui du fœtus ne se mêlent pas ; il y a entre eux échange par osmose, des
aliments nutritifs nécessaires à la croissance du fœtus. A maturité les enfants
naissent complétement formés
Les mammifères marsupiaux suivent les mêmes lois sauf que l’éjection de la
progéniture se fait à l’état embryonnaire éjecté dans un sac.
Nous sommes en l’an 140 millions avant l’homme. Il s’est créé un équilibre
entre la flore et la faune. Les insectes vivent au milieu des plantes. Les
insectivores mangent les insectes. Les herbivores se nourrissent de végétaux.
Les carnivores dévorent des animaux plus petits qu’eux.
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65 millions d’années avant homme :
Des milliers de volcans se multiplient partout sur le globe éjectant des laves
incandescentes dont le feu se communique aux forêts qui s’envolent en volutes
de cendre et de fumées. Des jets de poussières, et des gaz délétères s’élèvent
des cratères, montent haut dans l’atmosphère et se prolongent loin des zones
volcaniques. Leur ombre et leurs pluies de cendres, le tout constitue un linceul
funéraire pour la flore et la faune. Tout à coup, un nuage énorme monte de
l’horizon et plonge la nature dans les ténèbres. C’est un astéroïde de 12 km de
diamètre est tombé au Mexique. Le choc provoqua la formation d’un cratère
de 180 km de diamètres et d’une énorme quantité de chaleur. Sous l’action de
celle-ci des fragments de l’astéroïde et des roches proches de l’impact,
entrèrent en fusion et formèrent dans l’atmosphère une énorme boule qui se
déploya en un immense nuage de poussières alors que des scories se dispersant
à la ronde sur plusieurs centaines de kilomètres allumant de gigantesques feux
de forêts. Les fumées des incendies et les poussières de l’impact en se mêlant
aux nuages des multiples éruptions volcaniques formèrent autour du globe un
écran opaque aux rayons solaires
Le manque de lumière stoppa la photosynthèse entraînant la disparition de la
flore. Il s’en suivit la disparition des herbivores. Cette rupture de la chaîne
alimentaire fut principalement néfaste aux colosses des animaux d’une
certaine taille qui périrent ainsi que les oiseaux de grande envergure.
L’obscurité absolue dura deux ans. Puis les fumées, et les poussières de la
météorite se dissipèrent progressivement.
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Extinction des dinosaures.
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Progressivement, l’épaisseur du nuage qui enveloppait le globe s’était dissipé
et le retour des rayons solaires favorisa la vie à la surface des océans. Sur les
continents, les spores et les graines germèrent. Les végétaux antérieurs au
cataclysme se renouvelèrent. Les insectes et ceux qui s’en étaient nourris : les
amphibiens, les reptiles et les oiseaux se développèrent. Les mammifères
insectivores précédemment discrets, prirent une place plus importante dans la
gent animale, tant en grosseur qu’en diversité.
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7 millions d'années avant le présent,
Dans la savane boisée de l’Afrique les primates (mammifères aux pouces
opposables et aux orbites sur la face) donnent naissance aux grands singes
(orang-outang, gorilles, chimpanzés et aux prés humains.
L’homme ne descend pas du singe il en est un avec une légère modification
du cerveau.
Les Préhumains avaient un plan morpho-organique identique à celui
des chimpanzés qui vivaient il y a environ 6 à 5 millions d'années avant le
présent. De ce fait, les deux espèces avaient un squelette et des structures
cérébrales du type animal quasiment semblables. On ne peut donc différencier
les fossiles des Préhumains de ceux des chimpanzés. Il ne manque donc pas
un chaînon comme on le prétend souvent, mais une impossibilité d'identifier
séparément les os fossilisés de chaque espèce. Les Préhumains comme leurs
cousins, les chimpanzés étaient des mammifères bipèdes aux pouces
opposables et aux orbites sur la face avec une structure cérébrales légèrement
modifiée par rapport au type animal.
De générations en générations ces Pré-Humais du fait de leur nouveau
cerveau si peu modifié qu’il fut développèrent un nouveau plan morpho-
organique, qui progressivement fut, il y a 4 millions d’années, celui des
Australopithèques lequel différencie leur squelette de celui des Préhumains
et développa chez eux une structure cérébrale double :
-
L’une correspondant à une mémoire animale innée riche du passé de leurs
précurseurs ;
-
L’autre, toute nouvelle, relative à une mémoire psychique vide de souvenirs
mais capable d'en acquérir.
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Aujoud’hui nous sommes présents
au point de repère.
14,5 milliards d’années depuis l’origine
de l’univer
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L’univers c’est :